L'ouari de combescure

L'ouari de combescure Porcelaine

Porcelaine

HISTORIQUE

HISTORIQUE

Il est plus exact de parler de la « légende du Porcelaine » que son historique, car la race a fait l'objet de nombreuses histoires sur l'origine et la signification de son nom. 

C'est le Marquis de Foudras qui fut un grand conteur cynophile, qui donna à la race le nom de « Porcelaine » au milieu du x:orme siècle et qui aurait fait croire pendant un certain temps, que les« Porcelaines» étaient d'origine Suisse. 

Par contre, le Comte de Marolles ; un grand historien de sujet de vénerie ; a mené de son côté et a démontré que la thèse du chien Suisse était peu probable. Mais en revanche, il semble qu'au début de la révolution en 1789, beaucoup de Porcelaines aient été exilés en Suisse pour préserver la race. Le calme revenu, tous ces spécimens ont été appelés, à tort « chien Suisse ». D'ailleurs, ce fut ce même Marquis de Foudras qui a inventé la venu d'un équipage Suisse en France avec un cheptel de soixante chiens nommés à l'époque« briquet franc cantois » ou de « Lunévilles ». 

Au début du siècle, la race a subit des modifications physiologiques et ·un nouveau type de chien est apparu avec moins de fanon et avec une ossature plus légère, corrigeant ainsi les morphologies lourdes apportées par le sang de chien d'Artois et de Normands. 

Les premiers chiens portant le nom de «Porcelaine» sont exposés à Paris dès 1884, mais avaient déjà reçu le mélange de sang de Billy et d'Harrier du Sommerset, qu'il lui fut bénéfique. Cela a permis de se rapprocher plus à une meilleure conformation, de donner plus d'allure mais malheureusement aussi plus de taille. C'est à l'heure actuelle, un des problèmes que rencontre la race. 

C'est de 1964 que date la première parution du standard. Grâce aux efforts de Monsieur Hublot de Rivault et de Monsieur Daillant, le club du Porcelaine fut crée en 1971. Dès sa créatidn, le_capitaine Canouet et Monsieur Julfü1 décidèrent de rassembler toutes les personnes en possession de chien « Porcelaine ». 

En 1972, à la spéciale de Cahors, il n'y avait qu'une quinzaine de sujets, mais à cette époque ce fut un grand essor dans le cheptel du club à l'aide de personnage comme Monsieur Tournier, Lauture, Gleze et Beraud. 


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